Nevada & Paul
La nuit, la pluie et toi

C'était jeudi soir. Il devait être environ cinq heure du matin lorsque j'arriva chez moi. J'avais terminé de travailler à trois heure, mais le temps de tout ramasser, et évidement une bande de fille qui parle et qui parle ça ralentis le travail. Enfin, le temps de tout faire ça et ensuite de me rendre jusqu'à mon bloc appartement, il était rendu environ cinq heure du matin. D'autant plus que la chance n'était pas de mon côté. Mon travail n'était qu'à environ un 15 minute à pied, alors ça se faisait plutôt bien, mais lorsqu'il mouillait. C'était un peu plus désagréable. C'était évidement ce soir que la plus avait décider de me tenir compagnie. Est-ce vraiment nécessaire de préciser que j'était complètement détrempé lorsque je suis arrivée ? Non je ne crois pas ! J'avais bien cru que le pire qui pourrait m'arrivée cette nuit, c'était d'être détrempé, mais non ! Les surprises étaient loin d'être fini pour moi. Alors que je me trouvais devant la porte de mon appartement, je fu incapable de la dévérouillé. Ah c'est pas vrai ! Pas ce soir ! Ma serrure me jouait souvent des tours. Je devais souvent appeler un serrurier parce qu'il n'avait tout simplement rien à faire avec celle-là, mais des serruriers à cinq heure du matin, je n'en connais pas vraiment. J'étais donc coincé à l'extérieur de mon appartement, alors que la pluie elle ne cessait pas. Mes yeux dériva immédiatement sur la porte voisine, 6001. C'était le seul voisin que j'avais déjà parler, alors c'était le seul que je pouvais vraiment déranger. Oh et puis, ce n'est pas comme si j'avais vraiment le choix. J'allais finir par attraper un rhume si je restais ici. Je me dirigea donc finalement vers la porte d'entré de mon cher voisin, puis sonna une première fois. Paul était sûrement bien endormis, donc j'appuya sur la sonnette deux trois fois de suite histoire de bien le réveillé. Après quelques instants, il finit par venir ouvrir la porte. Avec la tête qu'il avait je dirais que oui, il sortait de son lit. « Je suis coincé dehors » lui dis-je alors tout simplement en m'appuyant contre le cadre de porte. Si j'avais envie de lui faire les yeux doux pour qu'il me laisse entrer chez lui, je crois que ça risque d'être un véritable échec. Avec cette pluie, j'étais loin d'être à mon meilleure ! « Tu me laisses entré ? » ajoutais-je finalement.

«Nevada & Paul»

«La nuit, la pluie et toi»

Un bruit strident résonna dans les oreilles de Paul. Il s’éveilla en sursaut. La voisine devait encore rentrer de soirée comme à son habitude en pleine nuit. Ah la vie en appartement ! Quelle était agréable à West Street. Paul se tourna dans son lit, et referma ses yeux, il devait se lever tôt le matin pour se rendre à l’Université de Détroit et donner ses cours, il avait vraiment besoin de dormir. Le bruit se répéta deux ou trois fois. Il comprit alors que c’était sa sonnette qui retentissait dans l’appartement. Quel était l’idiot qui pouvait bien le déranger en pleine nuit. Il espérait que se ne fusse sa sœur Lola, il n’avait aucune envie de lui parler à cette heure aussi tardive. En se levant difficilement il observa son réveil, cinq heures du matin. Ce devait être important pour le réveiller à cette heure. Et si ce ne l’était pas il se ferait un malin plaisir à renvoyer la personne sur le pas de sa porte chez elle. Paul enfila rapidement un t-shirt et marcha d’un pas lent et évasif vers l’entrée de son nouvel appartement. II poussa la porte et aperçu en face de lui sa toute nouvelle voisine, Nevada. Il l’avait déjà vu à une ou deux occasions, les deux voisins étaient arrivés en même temps dans le quartier. La jeune demoiselle était là, d’une tenue droite et désolée. Paul l’observa d’un air songeur et interrogatif, elle lui adressa alors : « Je suis coincée dehors ». Elle était trempée de la tête aux pieds, le temps ne devait pas être superbe dehors… Paul encore tout endormit ne réagit pas de suite aux mots de Nevada. Elle enchaina d’un ton simple : « Tu me laisses entrer ? ». Paul sourit. Malgré ses aspects toujours renfermé et quelque peu solitaire qu’il tenait de sa famille, il avait toujours un petit sourire pour les jeunes demoiselles, qui plus est si elles venaient le chercher chez lui à cinq heures du matin ! Il lui adressa alors : « Mais bien sûr, entre donc. » Il reprit le chemin de l’intérieur de son appartement, suivi de Nevada et se rendit dans sa toute petite cuisine, et sans se retourner, lança d’un ton amical « Je te sers quelque chose ? J’ai… Hmmm. Qu’est-ce que c’est mal rangé ici… Du café, du coca ou … du Whisky »

(c) Spinelsuns

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La nuit, la pluie et toi

« Mais bien sûr, entre donc. » me répondit-il immédiatement, alors que je ne perdis pas une seconde pour entrer dans son appartement, qui était exactement comme la mienne. Je suppose que tous les appartements de ce bloc sont exactement pareil. Voilà la vie à West Street ! Enfin, Paul ne semblait même pas trop fâché que je l'ai réveiller en plein milieu de la nuit. Je dois dire que ça m'étonnait beaucoup. C'est pas comme si on était de bon amis. On se connaissait à peine. Je me met à sa place et disons que je n'aurais pas été si acceuillante. Il avait beau avoir une belle gueule, lorsqu'on me sort de force de mon lit, je suis d'humeur meurtrière. Vous pourriez être étonner de voir tout ce qui peut sortir de ce petit corps. Paul se dirigea alors vers la cuisine en me lançant; « Je te sers quelque chose ? J’ai… Hmmm. Qu’est-ce que c’est mal rangé ici… Du café, du coca ou … du Whisky » J'harqua légèrement un sourcil à ses paroles. Parce qu'il voulait rester encore debout en plus ? Je n'étais pas contre l'idée. De plus, je dois dire que la fatigue m'envahissait complètement, alors un bon café ne me ferait pas de tord. « Un café...avec whisky » lui répondis-je finalement en enlevant ses horribles souliers à talon haut qui m'endolorissait les pieds. Ah oui ! Rien de mieux que les bons effets bénéfique du café et du whisky réunis ensemble ! Je m'avança donc finalement vers la cuisine où il se trouvait. « Tu me prête quelque chose où tu préfère que je mouille tout ton appartement ? » ajoutais-je finalement. Bah oui ! mes vêtements étaient complètement trempe. De un, j'étais complètement inconfortable avec ses vêtements qui me collaient au corps et de deux j'allais faire de l'eau partout. Forcément, c'était mieux pour lui et pour moi qu'il me prête des vêtements.

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La jeune voisine ne semblait pas désolée d’avoir pu réveiller Paul à cinq heures du matin. Elle avait un air assuré et les yeux pétillants que Paul ne pourrait quant à lui jamais gardé à une heure pareille, même étant sobre. Elle devait avoir l’habitude des soirées jusqu’à point d’heure, depuis son arrivée, Paul l’entendait régulièrement rentrer très tard dans la nuit. Elle lui demanda du whisky et un café. Il lui servit calmement, fixant ces verres et se prépara pour lui un gros café. Etant donné qu’il devait se rendre à l’université pour huit heures, il ne pourrait se recoucher d’ici là et se prépara ainsi à une grosse journée. Il apporta alors les deux boissons à la jeune femme en adressant un léger regard et s’assit sur la chaise qui se trouvait dans la cuisine. Il alluma la lumière de la pièce, histoire d’etre bien reveillé et pouvoir discuter un certain temps avec son interlocutrice. Elle adressa d’un ton presque pressé : « Tu me prête quelque chose où tu préfères que je mouille tout ton appartement ? ». En effet, les gouttes ruisselaient le long des vêtements de la jeune femme et derrière ses cheveux. Paul leva les yeux vers elle, avalant sa gorgée sa café et adressa d’une parole rieuse mais presque sérieuse :
« Si tu veux je te passe celles que je porte. » Il s’arrêta un instant pour observer sa réaction. Quelques secondes plus tard il se rendit vers sa chambre pour chercher un survêtement un t-shirt qui lui était trop petit. Il revint dans la cuisine où l’attendait Nevada et dit « Tiens j’espère que ça t’ira. Tout dépend du temps que tu comptes rester ici » et s’empressa de répondre « Ah et tu peux te changer où tu veux… Je plaisante, prends ma chambre si tu veux »

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La nuit, la pluie et toi

En cet instant précis, je dois dire que nous étions deux parfait contraire. Oui, je commençais à resentir la fatigue, mais ce n'était qu'un léger début, alors que lui ce n'était qu'un léger début du réveil. Il n'était pas très matinal à ce que je vois. Bon, je ne le suis pas non plus. C'est plutôt le fait que je dors toute la journée qui fait que je suis encore capable de tenir sur mes deux jambes en cet instant, mais bon, il ne connait pas ma vie et je ne connais pas la sienne. Je finis donc par aller le rejoindre à la cuisine et lui demanda finalement de me passé quelques vêtements. C'était un vrai déluge à l'extérieur, donc forcément la pluie avait eu raison de mes vêtements. Alors je dois dire que des vêtements secs ferait mon plus grand bonheur. Ce ne serait sûrement pas à ma taille, à moins qu'il est une femme dans sa vie, mais je ne l'ai jamais vu avec personne, donc j'en avais rapidement fait la conclusion qu'il était seul et les paroles qu'il me lança ne firent que confirmer le tout. « Si tu veux je te passe celles que je porte. » Un sourire vinrent rapidement se couvrir sur mes lèvres. Ils n'étaient pas sérieux. Avec la tête à moitié endormis, je doute qu'il est vraiment envie de s'embarquer dans ce genre de jeu. « Vraiment ? » lui répondis-je tout simplement. Et comme je m'en doutais bien, il partit par la suite vers sa chambre probablement pour aller me chercher quelque chose. Je posa finalement mes deux mains contre la tasse de café qu'il venait de me servir histoire de me réchauffer les mains un petit peu, puis détourna ma tête vers lui alors que j'entendais ses pas qui revenait vers moi. « Tiens j’espère que ça t’ira. Tout dépend du temps que tu comptes rester ici » Puis avant même que je puisse lui répondre quoique ce soit, il s'empressa d'ajouter; « Ah et tu peux te changer où tu veux… Je plaisante, prends ma chambre si tu veux »« Si tu crois que ça me gêne ... » lui relançais-je immédiatement avec un petit sourire en coin tout en allant finalement lui dérober les vêtements qu'il me tendait. J'avais l'habitude de me retrouver en sous-vêtement devant les hommes. J'étais une danseuse, alors ce n'est pas comme si j'avais vraiment le choix, mais bon, je dois dire que quand je pouvais l'éviter, je le faisais. Enfin, je me dirigea donc finalement vers sa chambre, puis revenit dans la cuisine quelques minutes plus tard complètement au sec. « Merci » lui dis-je alors. Un merci, c'était bien la moindre des choses vu que je l'avais tirer de son lit aux petite heures du matin.

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En ayant cherché des habits pour Nevada dans sa chambre, Paul avait trouvé que la jeune femme, sous ses airs assurés et sur d'elle, elle semblait en réalité quelque peu déstabilisée. Cela pouvait se comprendre. Entrer chez quelqu'un en pleine nuit, que l'on connait à peine après l'avoir sortit violemment de son sommeil pouvait être déstabilisant. Mais enfin, Paul n'était pas partit la chercher. Pour une fois, il était plutôt agréable avec quelqu'un. Depuis qu'il était arrivé à Détroit il ne l'avait pas vraiment été. Avec tout ce qu'il s'était passé, le fait de revoir sa soeur, de devoir enterrer son père qu'il n'avait vu depuis dix ans, tout ça ne l'avait pas rendu des plus agréable, en plus de son caractère, déjà plutôt compliqué! Lorsque le jeune homme proposa des vêtements à la voisine, celle ci adressa d'un ton bien singulier :« Si tu crois que ça me gêne ... » , suivi d'un petit sourire en coin. A vrai dire, Paul se fichait qu'elle se change ici, devant lui ou ailleurs. Nevada était tout de même une femme attirante, mais il ne voulait pas la mettre mal à l'aise avec trop de réactions mal placées dont il avait le secret. Elle se dirigea alors vers la chambre au fond du petit couloirs de l'appartement. Il était presque cinq heures trente, Paul décida de se préparer un petit encas, avant de partir. En regardant des ses placard, il prit le premier paquet de gâteau qu'il trouva et le posa sur sa table. Nevada revint rapidement, habillée de vêtements vraiment trop grand pour elle, elle était toute mince, et les habits de Paul lui donnait un aspect presque amusant. Elle remercia tout simplement Paul, celui-ci la fixa droit dans les yeux, d'un léger sourire rieur mais pas ironique. Paul fit signe de la tête à Nevada qu'elle pouvait se servir de gâteaux lorsque lui se servit en en prit un dans sa main, avant de le manger trop rapidement. En essuyant ses mains sur un chiffon posé sur la table il dit
"Et ... Tu comptes rentrer comment chez toi après tout ça mademoiselle ? " . Il continua d'une parole toujours aussi sympathique
" Ce n'est pas avec ces vêtements que tu vas réussir à me convaincre de t'aider."
Il bailla. Décidément il ne se réveillait pas ce matin là. Il parti vers l'évier de sa cuisine, devant les yeux de Nevada et se rinça le visage avec une eau glacée. D'un coup il se sentit beaucoup mieux et éveillé.

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J'étais donc resortit de la chambre de Paul avec des vêtements complètements secs, les siens évidement. Bon il était loin d'être à ma taille donc forcément loin de me mettre en valeur, mais bon ce n'était pas vraiment le but rechercher et puis ce n'est pas comme si j'avais vraiment le choix. Je retourna donc dans la cuisine par la suite où se trouvait Paul en m'installant sur une chaise en face de lui. "Et ... Tu comptes rentrer comment chez toi après tout ça mademoiselle ? " J'haussa doucement les épaules en prenant finalement une première gorgé de ce fameux whisky, suivit d'une gorgé de café, alors que Paul poursuivait; " Ce n'est pas avec ces vêtements que tu vas réussir à me convaincre de t'aider." Je laissa échapper un petit rire. Je n'avais peut-être pas les vêtements idéaux pour jouer la mignonne petite fille qui a besoin d'aide, mais il m'avait déjà laisser entrer, alors je n'en avais pas besoin. Et puis, ce n'était pas vraiment la première fois que je restais prise dehors. D'habitude, ça m'arrivait en pleine journée donc je pouvais appeler un serrurier et mon problème était régler, mais là, je devais attendre jusqu'au matin. « Tu saura que je sais être très convaincante » lui répondis-je finalement en tournant la tête vers lui tout en me mordillant légèrement la lèvre inférieur. « Mais t'inquiète pas, je serais plus là quand tu reviendra du travail » ajoutais-je par la suite. Je ne comptais pas m'éternisé ici. Ce n'était vraiment que pour me dépanner, et puis j'avais besoin de mes choses. Je ne vais quand même pas porter les même vêtements tous les jours et je ne sortirais sûrement pas dans celle de Paul. Mon voisin semblait être de très bonne compagnie, j'avais besoin d'entrer dans mon appartement. Je ne pouvais pas vraiment vivre sans toutes mes affaires.

«Nevada & Paul»

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« Tu saura que je sais être très convaincante » affirma Nevada en fixant Paul droit dans les yeux. avec un joli sourire. Paul sourit quant à lui intérieurement.. La jeune femme avait de la reparti, ce qui changeait de la plupart des filles, trop timides pour arriver à dire quoi que ce soit, pour arriver à aligner ne serait-ce qu'une phrase correctement sans bégueyer au moindre mot. Il ajouta alors " J'ai hâte de voir cela alors". Pour relancer cette conversation plutôt amusante et agréable. L'heure avançait, Paul devrait se rendre à l'Université dans une heure environ, mais son envie d'y aller n'était pas des plus prenante « Mais t'inquiète pas, je serais plus là quand tu reviendra du travail » continua t'elle. Il espérait. Malgré qu'il trouve la compagnie de la jeune femme, il était, peut-être un peu parano, mais n'aimait pas savoir une présence chez lui alors qu'il était absent. Il regarda alors simplement Nevada, sans aucune expression apparente sur son visage. Il fit signe de la tête à sa voisine qu'il revenait, partit s’éclipser quelques instants dans sa chambre, retira son t-shirt pour mettre une chemise pour le boulot. Il prit la première chemise venue dans son placard et sans la mettre de suite, sortit de sa chambre, torse nu et enfila sa chemise sur le chemin de la cuisine en prenant soin de bien la boutonner. Nevada n'avait vraisemblablement pas bouger. Paul lui demanda " Puisque tu es ici je vais te mettre à contribution". Il n'avait pas fait sa vaisselle de la veille et devait la faire avant de partir, il continua "Je fais la vaisselle et tu essuies ? " Dit-il d'un ton ironique mais tout en étant sérieux. Il tendit sympathiquement un petit chiffon propre la demoiselle en face de lui.

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L'heure avançait rapidement. Paul semblait tant qu'à lui de plus en plus réveillé, alors que moi je sentais mes yeux se rapetissé de plus en plus. Je n'avais pas encore fermé l'oeil et je dois dire qu'à l'habitude je suis bien au chaud endormis dans mon lit, alors oui mon lit commençait à m'appeler. Mon charmant voisin finit par quitté la pièce pour faire je ne sais quoi et je détourna finalement la tête en l'entendant revenir vers moi après quelques minutes. Il était en train de boutonner la chemise qu'il venait d'enfiler. Plutôt bien foutu ce cher voisin ! Le contraire m'aurait plutôt étonner. Il était quand même prof de sport si je ne me trompe pas. Il me ramena toutefois rapidement à la réalité; " Puisque tu es ici je vais te mettre à contribution". m'annonca t-il. J'eu un petit sourire qui se dessina sur mes lèvres à nouveau. « Oh ! tu veux profiter de moi peut-être ? » lui dis-je en me levant finalement de la chaise où je me trouvais pour aller le rejoindre, mais bien sûr ce qu'il me proposait n'avait rien de très amusant. J'afficha rapidement un petite mou d'ennuie alors qu'il me tendait un chiffon; "Je fais la vaisselle et tu essuies ? " me demanda t-il. Je lui arracha finalement ce fameux chiffon des mains et le mis contre mon épaule, puis m'approcha doucement de lui en remarquant rapidement que sa chemise était mal boutonné. « T'as manqué un bouton .. » lui dis-je doucement, alors que je regardais cette fameuse chemise. Je pris même soin de détacher moi-même chacun des boutons de sa chemise, puis la reboutonna correctement. Je le regarda donc rapidement de la tête au pied. Bon il était mieux sans, mais pour le travail, il était parfait maintenant !« Beaucoup mieux comme ça ! » ajoutais-je par la suite en relevant mes yeux vers les siens.