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 "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie

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Charlie A. Sanders

TO DETROIT AND BEYOND
Charlie A. Sanders

ÂGE : 35
NOMBRE DE SMS : 207
DATE DE NAISSANCE : 11/10/1988
ARRIVÉ EN VILLE : 08/12/2012
AVATAR : Matt Lanter




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MessageSujet: "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie EmptyMar 18 Déc 2012, 18:00




••• Léonie & Charlie •••



De gros flocons de neige s'écrasaient au sol, s'écrasaient contre le carreau de la fenêtre. Detroit venait de se parer de son plus beau manteau, pour offrir son plus beau visage aux touristes tout comme aux nombreux résidents. Tout était bon pour combattre le froid qui venait de s'installer en même temps que la neige. Certains restaient chez eux, au profit d'une bonne lecture devant un feu de cheminée, tandis que la plupart des habitants devaient s'emmitoufler correctement pour se rendre au bureau, d'autres allaient prendre un chocolat chaud au café du coin, et le restant... et bien le restant était en mal de sensations fortes. Comme Charlie par exemple. Chercher quelque chose à faire, pour égayer un peu cette journée, égayer son quotidien. D'un geste, il ouvrit la fenêtre de sa chambre, puis se hissa sur cette dernière pour finalement se retrouver d'un geste souple sur le toit. Quelle idée de construire une maison de cette manière ? Le toit était si facile d'accès depuis les chambres et l'étage. Un vrai jeu d'enfant, il n'y avait qu'à enjamber le rebord de la fenêtre, pour se retrouver à l'extérieur et dominer tout le quartier. Avoir cette impression de hauteur, entre ciel et terre, une sensation indescriptible, le sentiment d'être réellement vivant sans doute. Inspirant profondément, Charlie observa la fumée provenant des cheminées durant quelques minutes. Une voix le tira soudainement de sa contemplation intempestive. « Charlie, mais qu'est-ce que tu fous là ? Tu veux attraper une pneumonie ? Rentres tout de suite... ne me force pas à venir te chercher par la peau des fesses ! » Sa mère, toujours aussi douce, toujours aussi inquiète pour lui – comme le reste de sa famille – qui pouvait l'en blâmer dans le fond ? Personne. Pas même lui. Malgré son envie de rester à cet endroit, et de la défier, il retourna à l'intérieur de la maison sans broncher. D'ordinaire, le combat n'aurait pas été gagné aussi facilement, sauf que là il était bien trop conscient des risques. Jouer avec sa santé n'était pas une option permise, même si l'envie était loin de lui manquer. Mettre le destin au défi dans une ultime provocation, voilà peut-être ce qu'il recherchait tant sur le toit de la demeure Sanders. Le regard de Joan lui en dit long sur sa manière de penser, mais surtout sur la façon dont il était vêtu pour ce genre « d'excursion ». « Je voulais récupérer un truc que je venais de faire tomber, c'est tout ! » « Mais oui Sanders, je vais te croire ! », le argua-t-elle en refermant d'un geste sec la fenêtre. Sans demander son reste, Charlie dévala les escaliers pour se retrouver au salon, n'ayant pas vraiment envie de se faire remonter les bretelles une fois de plus par sa mère. Il allait demander les résultats du dernier match de hockey à son père, lorsqu'en passant devant la porte fenêtre, il aperçut son amie d'enfance, Léonie, qui passait dans la rue. Abandonnant bien vite l'idée de mettre à jour ses données sportives, dans un geste précipité, il fit une glissade en direction de la porte d'entrée et se rattrapa par l'opération du St Esprit au montant de cette dernière, avant de l'ouvrir à la volée, de sortir sur le perron et de hurler à pleins poumons : « LEOOOO !!!! ». Doutant qu'elle l'est entendu, il cria de plus belle afin d'attirer son attention, tout en sautant dans tous les sens et en faisant de grands gestes. « EVANS ! Amènes tes fesses par ici ! » Une voix moqueuse parvint de l'intérieur du salon, jusqu'à ses oreilles, celle d'Ethan : « Toi tu sais parler aux filles, ça ne fait aucun doute ! … La porte Charlie, bon sang on chauffe pas la rue ! » Le blond referma la porte sur son passage avant de continuer son raffut. « EVANSSSS !! » La pauvre Léonie avait peut-être mieux à faire, mais cela ne lui effleura pas l'esprit une seule seconde. Cela faisait un moment qu'il ne l'avait plus vue et il comptait bien profiter de ce passage furtif pour demander de ses nouvelles, et pourquoi pas s'amuser un peu au passage. Quelques jours plus tôt, Ethan lui avait demandé de l'aider à déblayer la neige qui s'était amassée devant la maison, chose aussitôt demandée, chose presque aussitôt faite. En apercevant le monticule de neige situé sur le côté de la maison - pile à l'endroit où se trouvait son bout de toit et par extension sa chambre -, une idée commença à germer dans son esprit. Léonie vint finalement le rejoindre. « Salut Léo ! Comment ça va ? Ça fait un moment que je t'ai pas vu ! Ta mère a encore trouvé le moyen de t'embrigader dans ces délires psychédéliques féministes ? », demanda-t-il avec un sourire espiègle. Avant de soumettre sa fabuleuse idée à sa plus vieille amie, Charlie attendit un peu... au moins le temps qu'elle lui réponde.
© POLLO
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Léonie B. Evans

TO DETROIT AND BEYOND
Léonie B. Evans

ÂGE : 29
NOMBRE DE SMS : 147
DATE DE NAISSANCE : 23/08/1994
ARRIVÉ EN VILLE : 08/12/2012
AVATAR : Astrid Berges Frisbey




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MessageSujet: Re: "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie EmptyDim 23 Déc 2012, 20:34




Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast
Ft. Charlie & Léonie
Ennui total. Léonie Evans jouait à lancer son ballon de basket, couchée sur son lit. Ballon qu’elle manqua de recevoir dans la figure quand elle entendit la voix de sa mère à l’étage. Un soupir, et la jeune fille descendait les escaliers quatre à quatre pour découvrir sa mère, les bras chargés de prospectus. « Oh non maman s’il te plait pas ces maudits tracts ! » Léonie trépignait, elle avait mieux à faire, ou plus tôt mieux à ne rien faire, que de distribuer ces fichus publicités. « Tu te moques de moi ? C’est important Léo ! Tu te rappelles de ce que je t’ai dit ? » La jeune fille hocha la tête, « Il faut toujours donner le meilleur de soi même pour les causes que l’on défend. » Phrase dénuée de spontanéité, récitée presque par cœur, à force d’avoir entendue sa mère le répéter un nombre incalculable de fois. « Bien, alors fais-moi plaisir s'il te plait, terreur. »Léonie tourna la tête d’un air désespéré vers son père qui se démenait à essayer de réparer un buffet en ruine, il lui sourit alors, le regard conciliant, « Allez vas-y, si tu veux après on ira faire un tour. » D’un geste las, la jeune fille mit sous le bras le paquet de tracts en question et sortit de la maison en pestant contre le monde entier. Mettant son bonnet sur la tête et remontant sa capuche, Léonie se mit à parcourir les pâtés de maison mettant nonchalamment les prospectus dans les boites aux lettres des habitants des rues de Detroit. C’était pour dire qu’il y en avait pour tout un régiment, alors quelquefois elle en mettait plusieurs par boite aux lettres, histoire de terminer sa corvée le plus vite possible. Le jeune brune arriva enfin sur Mile Road, et elle pensa que décidemment elle allait s’ennuyer à mourir pour le restant de la journée. Comment faire un jogging dans la neige ? C’était physiquement impossible, du moins pour elle, étant donné qu’elle n’avait pas une condition suffisante pour le moment. Mais elle s’entrainerait, tellement fort, qu’elle finirait par être forte, plus forte que tous ces idiots écervelés qu’elle croisait tous les jours à l’école.

Une voix familière parvint alors jusqu’à ses oreilles, et pour le coup elle ne comprit rien du tout à ce que cet énergumène gesticulant lui voulait. Energumène qu’elle ne mit pas longtemps à reconnaitre, c’était Charlie, surexcité, comme d’habitude. Enfin, un peu d’action ! Avec un enthousiasme non dissimulé, la brune se mit à courir dans sa direction, laissant tomber quelques tracts au passage. « Charlie ! Oui ca fait un moment, mais c’est les vacances tu vois, alors j’en profite pour faire encore plus de sport ! » Léonie grimaça quand son ami la questionnait sur sa mission du jour, après avoir exagérément soupiré, elle s’exclama, « Ouais, tu ne peux pas savoir comment c’est ennuyeux et chiant à mourir ! J’ai un stock pour au moins deux fois la ville entière ! » Remettant son bonnet en place sur ses oreilles gelées, elle savait bien qu’elle exagérait, mais c’était que la tâche l’agaçait au plus haut point. Fronçant les sourcils, elle lui demanda, « J’en ai pour chez toi aussi, si ca dérange pas tes parents. » Un nouveau sourire, elle savait qu’avec Charlie on ne s’ennuyait jamais bien longtemps, et elle avait bien envie d’envoyer au diable cette fouttue corvée. « Et toi ? Tu fais quoi là maintenant ? » Question anodine peut-être, mais qui allait les conduire vers une bêtise qui cette fois n’allait pas inclure un chat et des allumettes ou encore des grenouilles et une boite en fer. Quelque chose de plus dangereux, mais de beaucoup plus amusant. Après tout cela ne se rejoignait-il pas ?
© Belzébuth
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Charlie A. Sanders

TO DETROIT AND BEYOND
Charlie A. Sanders

ÂGE : 35
NOMBRE DE SMS : 207
DATE DE NAISSANCE : 11/10/1988
ARRIVÉ EN VILLE : 08/12/2012
AVATAR : Matt Lanter




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MessageSujet: Re: "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie "Si les abeilles avaient été les plus fortes, elle nous tartineraient sur leurs toast " :: Léonie EmptyDim 30 Déc 2012, 18:48




••• Léonie & Charlie •••



Un sentiment de bonheur s'empara du jeune homme lorsqu'il vit celle qui était probablement sa plus vieille amie s'approcher du perron de sa maison. Léonie représentait quasiment toute son enfance et une bonne partie de son adolescence. Il ne se souvenait plus bien de la façon dont leur rencontre s'était passée, mais il se rappelait quelle faisait partie du paysage de sa vie depuis qu'il était haut comme trois pommes. « Cours pas, tu vas t'étaler la tronche par terre comme une vieille crêpe ! ». Après avoir réveillé probablement tout le voisinage, il écouta tranquillement – tout en sautillant sur place pour se réchauffer – le pourquoi du comment de ce silence qu'il n'aimait pas vraiment. Une légère grimace vint naître au bord de ses lèvres. « Faire plus de sport ? Parce que c'est genre humainement possible ça ? En fait tu passes ton temps à faire du sport si je comprend bien... tu ne dors même plus en résumé ! » Charlie ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel. Un beau jour, Léonie finirait par y laisser sa peau. Enfin peut-être que c'était uniquement la jalousie qui parlait pour lui. Lui qui ne pouvait pas faire de sport, sous peine de se faire réprimander parce qu'il « ne doit pas repousser ses limites et blablabla ». Enfin si cela n'était qu'une question de réprimande, mais non, il fallait aussi que le facteur santé entre réellement en jeu. Quelle vie... Sans se départir de son sourire de pub pour dentifrice, Charlie opinait du chef tout en écoutant les malheurs que lui contait son amie d'enfance. Luisa avait encore frappée. Pauvre Léonie qui en était réduite à faire la distribution de tracts par n'importe quel temps, cela relevait presque de l'esclavagisme. « Pour chez moi ? Ma mère va te les faire manger si tu lui montres ça... cache les inconsciente ! » Ajouta-t-il en riant à moitié. Les droits de la femme, une cause qui devait passer à environ dix mille kilomètres au dessus de la tête de sa chère mère. « Je peux t'aider non pas à les distribuer, mais à t'en débarrasser si tu veux. » La question suivante de la brunette lui rappela soudainement cette histoire de tas de neige. Un tas de neige, un toit, des tracts, autant de combinaisons possibles pour un amusement garanti. Chose qu'il ne mit pas trente ans à référer à Léo'. Avec un débit de parole toujours aussi rapide, à vous donner le tournis, Charlie parti dans son explication alambiquée. « Là maintenant rien... en fait j'admirais la vue depuis le toit avant de me faire engueuler par ma mère et de me faire éjecter au salon, quand je t'ai vu ! D'ailleurs ça tombe bien que tu sois équipée pour une mission arctique ! Tu te rappelles de la rampe qu'on a construite il y a quelques mois déjà ? Pour faire du vélo sur le toboggan des gosses Degray.... je l'ai toujours dans le garage... enfin quelque part dans le bordel... Tu vois ce magnifique tas de neige là pratiquement en dessous de ma chambre ? », dit-il en désignant le dit monticule blanc. Véritable moulin à paroles lorsqu'il avait une idée en tête cela devenait encore pire. Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, il enchaîna presque aussitôt. « Ça te dirais de tenter autre chose avec le tremplin ? Comme sauter en roller direct dans la neige ? Enfin sans se péter le nez bien sûr... La mission d'aujourd'hui si tu l'acceptes, est de faire le moins de bruit possible pour aller chercher la rampe, la hisser par la fenêtre de ma chambre et ensuite de s'éclater comme des dingues... enfin il y a des risques mon cher Watson, il ne faut pas réveiller le dragon et son petit, sous peine de périr dans d'atroces souffrances ! » De vrais gosses sans doute, mais cela faisait tellement de bien de rire un peu, sans penser aux conséquences, sans se retenir. C'est tout ce dont il avait besoin. Oublier la maladie durant quelques heures à peine, ne plus songer à rien, sauf à rire et à faire le plus d’âneries possibles. Il ouvrit la porte d'entrée et invita Léo à entrer. « Pa' !! » hurla-t-il presque aussitôt. « Elle est où la clef du garage ? » Un bruit de pas, accompagné d'un grognement, puis Ethan apparu. « Je suis pas sourd, arrête de brailler comme un âne bon sang ! Où veux-tu qu'elle soit hormis à sa place habituelle ? » Sans demander son reste et sans remercier son père, Charlie attrapa Léo' par le bras et l’entraîna en direction du garage – par l'intérieur de la maison - après avoir attrapé la clef. La porte s'ouvrit sur un capharnaüm sans nom. Des instruments de musique par-ci par-là, du matériel sportif, des toiles peinturlurées et d'autres vierges. Un immense fouillis qui n'était autre que l’œuvre de Charlie. « C'est un peu... le bordel là-dedans, mais c'est super organisé si tu regardes bien ! », lança-t-il avant de se mettre à la recherche de la fameuse rampe, en retournant tout ce qui pouvait se trouver sur son passage, sans la moindre douceur. « Faut qu'on se grouille avant qu'ils rappliquent, rappelles-toi qu'il ne faut pas réveiller le dragon et son gosse ! »
© POLLO
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